L’acte fondateur de l’État est très fortement lié au génie du « pape de l’an mil », l’auvergnat Gerbert d’Aurillac

Pour l'amour du pays, par les yeux du monde
« C’est sous des rois de sang français que commença le grand rôle que la Hongrie devait jouer à l’est de l’Europe »
Charles-Eugène Ujfalvy de Mezőkövesd (1842-1904)
L’acte fondateur de l’État est très fortement lié au génie du « pape de l’an mil », l’auvergnat Gerbert d’Aurillac
C’est l’époque où la Hongrie s’européanise.
Charles d'Anjou en nourrissant pour sa dynastie les plus hautes ambitions, ne répondit donc pas seulement aux traditions de son pays, mais aussi à l'attente de l'Europe.
Louis Ier le Grand parachève l'œuvre de son père Charles-Robert et restaure complètement l'autorité du monarque face aux barons
La Hongrie appartenait politiquement au monde germanique, surtout dans les années 1930. Dans une telle situation, la culture et l’influence françaises servirent de contrebalance à la germanisation
l’analyse de l’historien d’art peut détecter l’inspiration intermittente d’un art géographiquement éloigné, mais qui nous est très précieux : celui de la France.
C'est au XIIIe siècle que nous trouvons pour la première fois mentionné un médecin d'origine française
La culture occidentale, et plus particulièrement la culture française, a joué en effet un rôle majeur dans la formation et l'épanouissement de l'art moderne hongrois à la fin du XIXe et au début du XXe siècle
Musicien hongrois, compositeur et folkloriste, qui a subi une forte influence française
L'importance des «extraits » dans la diffusion des Lumières françaises en Hongrie n'a pas retenu jusqu'ici l'attention des chercheurs. Elle fut pourtant remarquable
La Hongrie entre dans la modernité, en se mettant à l'école de Baudelaire, de Verlaine, de Rimbaud et de Mallarmé
On connaît, dans ses grandes lignes, l'influence considérable que la littérature française a exercée dans les pays dont la vie intellectuelle nous occupe le plus ordinairement; on la connaît moins dans la partie orientale de l'Europe, notamment en Hongrie. Elle mérite pourtant d'y être étudiée.
Le prince angevin n'a plus de compétiteur, et peut être véritablement reconnu, le 27 août 1310, comme l'authentique successeur de Saint Etienne
En définitive, les rois angevins ne firent qu’accélérer l’« occidentalisation » culturelle de la Hongrie, que leurs prédécesseurs arpadiens avaient commencée au cours des trois siècles précédents.
C'est sous des rois de sang français que commença le grand rôle que la Hongrie devait jouer à l'est de l'Europe.