Le travail consiste à sélectionner les sources disponibles sur internet, libres de droit ou sur autorisation, et à les ordonner selon un vaste plan d’ensemble, qui couvre l’histoire de France de Clovis à nos jours, dans tous les domaines.


Principes éditoriaux et charte graphique

Il n’y a pas de travail inédit sur le blog, rien que l’on ne peut trouver soi-même en effectuant ses propres recherches. Traces de France applique les principes de Wikipedia : la vérifiabilité, la neutralité du point de vue et l’interdiction du travail inédit (voir les explications sur cette page)

Le travail consiste à sélectionner les sources disponibles sur internet, libres de droit ou sur autorisation, et à les ordonner selon un vaste plan d’ensemble, qui couvre l’histoire de France de Clovis à nos jours, dans tous les domaines.

Les contenus sont reproduits in extenso s’ils sont courts, partiellement lorsqu’ils le sont moins. Les références du contenu source sont éludées pour une lecture aisée, étant entendu qu’il est toujours possible d’accéder au document source qui contient lui-même ces références.

Les passages répondant à l’objet du site sont surlignés en marron et mis en gras par nos soins.

Le support Internet au cœur du projet

Les technologies de l’information autorisent désormais la concentration en un seul media de milliers de documents, là où les synthèses des auteurs anciens ne permettaient de citer pour ainsi dire qu’une poignée de témoignages, ou de donner à voir qu’un nombre réduit d’illustrations.

C’est bien Internet qui légitime l’aventure éditoriale de Traces de France, et qui en révèle tout l’intérêt : à notre connaissance, il n’existe pas actuellement de projet similaire.

Les Sources

La source d’emprunt est systématiquement mise en avant, selon les règles établies par les ayants droits lorsqu’il y a lieu.

Nous veillons à équilibrer les sources, en les distinguant par des tags, qui sont par ailleurs un puissant moyen d’affiner les recherches. Les sources directes (« primaires » i.e. livres anciens) sont issues des institutions qui apportent leur concours à la numérisation et à la diffusion des fonds bibliothécaires (Archive.org, Google Livres, Gallica, Wikisource) ou encore des ouvrages récents mais en libre accès (OpenEdition book) ; les travaux de type universitaire proviennent essentiellement des plateformes de publication OpenEdition Journals, Persée, Cairn info. Pour une lecture plus rapide ou récréative, il existe les tags Blogs et Article de presse (la contrepartie est une fiabilité moins grande de l’information). En alliant rigueur et concision, l’encyclopédie Larousse, Universalis, Hérodote, l’Histoire, Encyclopaedia britannica, Retronews sont un compromis entre densité et légèreté du contenu. Les ouvrages intéressants mais malheureusement non accessibles en libre accès sont regroupés sous le tag « 4° de couverture ». Quelques sites institutionnels ont leur propre tag (BnF, Recueil des célébrations nationales, les trésors de l’INPI, Patrimoine mondial de l’Unesco). Voilà pour les principales sources.

Le choix du plan d’ensemble

L’arborescence thématique des trois premières parties est issue de la table des matières de l’ouvrage de Louis-Philippe May, « Esquisse d’un tableau des apports de la France à la civilisation ».

esquisse-d-un-tableau-des-apports-de-la-france-a-la-civilisation-de-louis-philippe-may

Cette dernière n’épuise cependant pas le sujet, aussi avons-nous ajouté avec le temps un titre 4 « approches thématiques », un titre 5 « Histoire militaire », et un titre 6 « Histoire diplomatique ».   La Table des matières simplifiée  reprend les titres de niveaux 1 et 2, tandis que pour avoir la table des matières complètes (+200 catégories), il faut utiliser le déroulant « Sélectionner une catégorie ».


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