
Pour l’amour du pays, par les yeux du monde
Lancée en 1997, Gallica est la bibliothèque numérique de la BnF et de ses partenaires. Gallica reste à ce jour l’une des bibliothèques numériques les plus foisonnantes puisqu’elle présente non seulement une partie des collections de la BnF mais aussi des corpus provenant de plus de 382 institutions francophones (bibliothèques, centres de recherche, sociétés savantes). Fin 2017 elle offrait 4,3 millions de documents numérisés. Près de 3,7 millions de documents sont issus des collections de la BnF et environ 640 000 documents des fonds des partenaires (15%), qu’ils soient directement disponibles dans Gallica ou seulement indexés.
La présence des autres bibliothèques françaises dans Gallica est le fruit de la politique de coopération numérique mise en œuvre par la BnF depuis la fin des années 2000.

Il est bon que ceux qui utilisent notre langue nationale, toute de clarté et de précision, puissent se rendre compte de sa diffusion et de sa supériorité sur tout le Globe ; sa vulgarisation dans l’Univers est immense

Il y a 180 ans naissait La Presse d’Emile de Girardin, premier véritable journal de l’époque contemporaine

La France est un foyer qui éclaire le monde, mais ce qui produit cette vive lumière est un immense incendie, qui consume et anéantit encore plus vite que l’égoïsme les magnifiques et vivifiants trésors qu’elle cherche si généreusement à répandre sur les autres peuples.

Au premier abord, l’entreprise peut sembler impossible de donner un aperçu ou une interprétation de l’apport d’un pays quelconque à l’histoire générale de la civilisation.

Peu de pays ont, autant que la Tunisie, présenté l’exemple de ce que l’ordre et l’unité de politique peuvent apporter d’essor rapide à la colonisation. A ce point de vue, l’œuvre de la France depuis 1880 est sans précédent dans l’histoire coloniale d’un peuple.

En 1815 nos relations furent renouées et la Tunisie entra dans la zone d’attraction de la civilisation occidentale

L’influence de la France sur la Russie a été surtout intellectuelle et morale, et c’est en cela qu’elle se différencie des influences allemandes et hollandaises, qui ont été surtout matérielles

Il faut admirer, sans la regretter trop haut, la générosité de ces Français qui ont préparé les Russes à devenir leurs rivaux sur tous les champs de la politique, de l’industrie ou de l’intelligence, sans rien recueillir de cet apostolat qu’une vaine gloire

Dans les deux siècles de vie russe que nous venons de parcourir, nous avons constaté la prédominance à peu près continue des influences françaises.
Les nations avaient été, longtemps à leur insu, toute la raison d’être, toute la force vive, et si l’on peut parler ainsi, toute la sève de l’histoire : la Révolution française les appela à la conscience d’elles-mêmes et décida leur avènement. La France le provoqua lorsqu’elle ne le consacra point de ses propres mains
J’ai fini. Je dois néanmoins appeler tout particulièrement l’attention sur ce fait : c’est que l’on peut, dès la Réforme, parler des lettres romandes; l’unité littéraire s’est réalisée dans notre pays en même temps que l’unité religieuse, celle-ci entraînant celle-là.

Après vingt-cinq ans de labeurs, ce géant de l’apostolat s’endormit dans la paix de son Dieu, comme un vainqueur au lendemain d’une bataille meurt enveloppé dans la gloire du triomphe, l’œuvre divine était faite; la Gaule était à jamais conquise à la véritable foi ; les Francs pouvaient venir, leur berceau était prêt.

Clovis est indiscutablement le fondateur de la monarchie française et, en résultant, de l’État le plus ancien d’Europe. Les Francs mis à part, tous les autres royaumes barbares se sont effondrés.