l'Alliance israélite universelle s'est rapidement imposée comme la version juive de la « mission civilisatrice de la France ».

Pour l'amour du pays, par les yeux du monde
l'Alliance israélite universelle s'est rapidement imposée comme la version juive de la « mission civilisatrice de la France ».
Fondée à Paris en 1860 pour se consacrer à la défense des juifs et à la promotion des droits de l’homme, l’Alliance israélite universelle s’est transformée, avec les années, en une entreprise éducative puissante qui a révolutionné le monde juif et marqué celui de la francophonie.
La France est l’inventeur et le principal organisateur des expositions industrielles au xixe siècle.
Le traité commercial franco-britannique de janvier 1860 dont nous célébrons en 2010 le cent-cinquantième anniversaire est un tournant majeur dans l'histoire économique et sociale de l'Europe que l'on a peine à imaginer aujourd'hui.
« Il faudra attendre le traité fondateur du marché commun de 1957, observe Jacques Brasseul, pour voir un texte de portée comparable. »
" Des moyens de négociation qui ont permis au gouvernement de l'Empereur de remanier à Paris le régime douanier de toutes les puissances de l'Europe."
Voici la part essentielle que la France a apportée au progrès scientifique; voici l'exposé, par les auteurs eux-mêmes, des grandes découvertes dues à son génie créateur
Influencés par leurs préjugés racistes et convaincus de la vanité et de la vénalité de leurs homologues latino-américains, les diplomates du Quai d’Orsay cherchèrent à s’assurer le concours de ces derniers en leur offrant des compensations honorifiques telles que décorations ou postes de prestige à l’Assemblée.
Le rôle de certains acteurs-clés, comme l’égyptologue française Christiane Desroches-Noblecourt, le ministre de la culture égyptien Saroïte Okacha, et le directeur général de l’Unesco René Maheu, sera mis en évidence
Ismaïl Pacha s’attache la collaboration de l’égyptologue Auguste Mariette (1821-1881) pour présenter un très ambitieux « Parc égyptien », à la mesure de l’image qu’il entend donner de sa puissance sur la scène internationale
L'Exposition de 1900 - la dernière à recevoir officiellement l'épithète d'universelle - fut un apogée
Le Pavillon France obtient la palme du pavillon individuel le plus visité
Paris fut ainsi à sept reprises la capitale mondiale de la science, de la culture, des techniques, des arts et de la Paix.
Cette exposition reste dans l'imaginaire collectif le symbole du rayonnement de Paris à la Belle-Époque.
Des reconstitutions de monuments khmers d'une rare beauté deviennent ainsi les attractions phares des Expos Universelles parisiennes de 1878, 1889 et 1900.