Dès le voyage de Ma Jianzhong en 1877 jusqu’au décès de Wang Boqi en 1961, le droit civil français a servi de point de référence pour la modernisation du droit chinois

Pour l'amour du pays, par les yeux du monde
Dès le voyage de Ma Jianzhong en 1877 jusqu’au décès de Wang Boqi en 1961, le droit civil français a servi de point de référence pour la modernisation du droit chinois
À partir de la fin du XVIIe siècle, la France acquit une position pionnière dans la collecte, le défrichement et l’étude des informations provenant ou traitant de la Chine
Le traité mettant fin à la guerre fut signé le 9 juin 1885, la Chine reconnaissant le Traité de Hué et abandonna sa souverainé sur l'Annam et le Tonkin. Ces territoires furent ensuite inclus dans l'Indochine française.
Plus importants sont ses réalisations une fois dans la place [...] et plus que tout, sa capacité à inventer une nouvelle sinologie, plus systématiquement scientifique
Jusqu’au xixe siècle, la sinologie européenne, si l’on fait exception des Jésuites, était dispersée, irrégulière, sans méthode et sans continuité
En poussant les portes d’une cuisine occidentale en Chine, on sera frappé d’entendre fuser les termes « mise en place », « garde-manger » « chef » en français entre cuisiniers chinois
Le développement industriel et commercial de la Chine au vingtième siècle dépassera celui des États-Unis au dix-neuvième siècle. La France doit y avoir sa part.
À la fin du XIXe siècle, le ministère des Affaires étrangères et le ministère des Colonies décident d’envoyer des médecins militaires à la frontière de l’Indochine
Le Pavillon France obtient la palme du pavillon individuel le plus visité
Le Shanghai des Français, protégé des guerres civiles et des conflits mondiaux pendant un siècle, a été l'un des rares carrefours du monde où se croisent cultures et usages, où s'échangent richesses et talents, où se mêlent différences et affinités
Et pourtant, l'histoire de la France en Chine est incomparable
L'arraisonnement par les Chinois d'un navire battant pavillon anglais ainsi que la mise à mort d'un missionnaire français ont fourni au Premier ministre anglais Palmerston et à l'empereur Napoléon III le prétexte d'intervenir une nouvelle fois en Chine