Conclu le 30 mars 1912 entre la France et le Maroc, le traité de Fès établit « l’organisation du protectorat français dans l’empire chérifien ».

Pour l'amour du pays, par les yeux du monde
Conclu le 30 mars 1912 entre la France et le Maroc, le traité de Fès établit « l’organisation du protectorat français dans l’empire chérifien ».
Le sultan confie à un Français captif, originaire d'Avignon, Théodore Cornut, le soin de dessiner les plans et de mener à bien la construction
Conçue par un architecte français profondément influencé par le travail de l'ingénieur militaire Vauban à Saint-Malo
Partout où l’influence française s’est répandue, les juifs ont libre accès dans tous les quartiers de la ville
Nous avons seulement voulu aujourd'hui montrer brièvement les progrès réalisés par le commerce marocain sous l’influence du protectorat français
Il s’attache à restaurer l’autorité de la monarchie marocaine, reconstruire l’État du Maroc et le doter de structures politiques et économiques modernes
Le Jardin, qui se déploie sur 9000 m2 aujourd’hui, est l’un des jardins les plus enchanteurs et mystiques du Maroc.
La vigne, comme en Tunisie, a suivi immédiatement notre occupation, semblant marquer par ses progrès la marche de l’influence civilisatrice européenne.
Is France still Morocco’s model ?
Dans le cadre de la mise en valeur du territoire, une dizaine de villes nouvelles sont fondées [...] créées non pas ex nihilo mais à côté de cités anciennes, les médinas.
Le site comprend la « ville nouvelle », conçue et construite sous le Protectorat français de 1912 aux années 1930
Pendant plus d’un demi-siècle, du début du Protectorat français (1912) aux lendemains de l’Indépendance (1956), Casa la blanche s’est imposée comme un frénétique laboratoire d’urbanisme et d’architecture
En novembre 1912 un système législatif et une administration sont crées afin de protéger et restaurer le patrimoine bâti marocain. De ce fait, la Kasbah des Oudayas devient le premier monument Historique au Maroc le 6 juin 1914.
Les services municipaux et de l’urbanisme seront toujours confrontés à « la fièvre de la construction » malgré la mise en place par Henri Prost d’une administration rigoureuse chargée de faire respecter les dispositions de ses plans d’aménagement.
Il va inscrire définitivement Casablanca dans l'histoire des villes modernes