Face au monopole ibérique, première forme de l'Exclusif colonial, Ango revendique avec opiniâtreté la liberté de commercer, que ce soit en Amérique, dans les Indes ou en Afrique

Pour l'amour du pays, par les yeux du monde
« On commet donc un anachronisme singulièrement grave lorsqu’on s’étonne que Charles VIII, Louis XII et François Ier n’aient pas changé d’objectifs politiques. Comment […] auraient-ils joué les vagues espérances nées des découvertes maritimes interprétées par Colomb contre les réalités toujours palpables du trafic italo-oriental ? […]
En fait, les Valois s’inspirèrent de tous les programmes concevables :
– ils tentèrent la conquête des domaines italiens,
– ils négocièrent avec les Infidèles,
– ils encouragèrent les découvreurs. »
(L-P. MAY)
Face au monopole ibérique, première forme de l'Exclusif colonial, Ango revendique avec opiniâtreté la liberté de commercer, que ce soit en Amérique, dans les Indes ou en Afrique
Le système d’échanges qu’est le commerce des fourrures émerge en Amérique du Nord-Est au XVIe siècle, lorsque des Autochtones croisent des pêcheurs et des baleiniers européens.
Il a exploré, mais surtout cartographié précisément pour la première fois, l’intérieur du fleuve Saint-Laurent, du golfe jusqu’à Montréal
Le 28 juin 1635, les Français Jean Duplessis et Charles de l'Olive, de la Compagnie des Isles d'Amérique (ou des Isles de l'Amérique), prennent possession de la Guadeloupe au nom du roi Louis XIII. C'est la plus ancienne dépendance française d'outre-mer.
Le 15 septembre 1635, Pierre Belain d'Esnambuc débarque à la Martinique. Au nom du roi Louis XIII, il prend possession de cette petite île volcanique des petites Antilles au climat tropical, jusque-là délaissée par les Européens.
Ses 320 monuments sur une superficie de 55 ha en font l'une des zones historiques les plus concentrées du monde.