« A considérer Genève avant et après la Réforme, on se croirait transporté d’un continent à un autre […] Il est évident que le calvinisme fut l’éducateur de notre pays. Il lui révéla l’antiquité classique. Il lui donna des goûts intelligents. Il lui ouvrit, du côté de la religion, des horizons nouveaux, le forçant de réfléchir et de regarder plus haut que terre. »