« En quittant l’Italie, les Français laissèrent des souvenirs ineffaçables. Ils avaient fait beaucoup : le nouveau code, l’égalité devant la loi, la division des propriétés, l’abolition des mains-mortes et des substitutions, la suppression des ordres monastiques, étaient des améliorations dues aux Français, et qu’à la restauration les anciens gouvernemens ne purent pas entièrement abolir »

